jeudi 13 novembre 2014

La véranda. (n°2)

Ce qu'on nomme véranda à la maison n'est pas une véranda, mais une pièce vitrée, pièce de jonction entre deux bâtiments celui de l'entrée, cuisine et salle à manger (et d'autres pièces encore)  et celui du salon et chambres.

Nous avons fait le choix, comme pour l'entrée et la cuisine de garder l'esprit du sol ancien en ciment, modernisé en béton ciré, reproduisant le motif qui y était autrefois.

                                              Vue de l'entrée dans la véranda, la porte menant au salon est à droite au fond.

On a créé un placard, au fond derrière la table, placard sensé ranger tout un bric à brac,  du petit matériel de jardin,  à des bottes en série, placard cachant aussi des tableaux électriques.

La collection de chapeaux de paille a trouvé naturellement  sa place, en débordant légérement sur le petit couloir menant à l'arrière.




Une ancienne maie nous sert de réserve de bois dans la maison, la panière dessus rassemble tous les chandails de la maison. Mon mari a eu cette idée géniale qui a résolu un problème constant, on a toujours besoin d'un petit chandail en Auvergne, sur la maie il y avait en permanence un tas  de chandails, polaires et blousons, les blousons  s'entassent dans différents endroits, dont le perroquet, qui croûle parfois sous le poids.

Sur les étagères se trouve un point fort de la maison, une réserve de chocolat dans la boîte à biscuits, réserve connue de tous et qui est perpétuellement pleine.




J'ai décidé de ne pas ranger particulièrement avant de prendre les photos, une vraie visite à l'impromptu, sur cette petit table on apperçoit des trompettes de la mort qui finissent de sécher.


Une paire de jumelle est accrochée en permanence au radiateur, afin de pouvoir les prendre au plus vite, je m'en suis servie ce matin, pour mieux observer le superbe renard dans un pré chassant des campagnols, j'ai eu la chance de le voir bondir sur sa proie. Le caoutchouc ci dessus est le caoutchouc dont nous nous étions donné le challenge de lui redonner vie au printemps dernier.



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